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FORUMS PROFESSIONNELS WINDEV, WEBDEV et WINDEV Mobile |
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Débuté par mailingballer, 03 sep. 2004 15:55 - 20 réponses |
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Posté le 03 septembre 2004 - 15:55 |
Bonjour,
Je vous sollicite car j'ai développé une application DEMO et je souhaite la protéger. J'ai prévu une date de fin d'évaluation. Mais si l'utilisateur supprime tous les fichiers, il pourra réinstaller et s'en servir de nouveau.
Comment faites vous alors, chers développeurs, pour protéger vos applications contre ces cas de fraude.
Thx for your response.
Clément |
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Posté le 03 septembre 2004 - 11:08 |
Bonjour Clément,
Un démo par principe devrait déjà être limité, soit par un nombre limite réduit de clients, de produits ou autre fonction(s) restreintes. De cette façon, loin de vouloir placer une limite sur la date, on a plutôt intérêt à ce que le démo se copie le plus souvent possible afin de le faire connaître.
Une limite sur la date est facile à éviter puisqu'il suffit de reculer la date par Windows et de démarrer l'application. De plus, dans votre cas, supprimer les fichiers permet d'utiliser la DEMO à nouveau. Notez ici que vous pourriez livrer l'application avec 1 fichier d'information (au lieu de laisser HCreationSiInexistant créér tous les fichiers) et si ce fichier n'est pas présent, stopper l'application.
Une limite sur la date peut cependant être valable si la date du jour est indispensable au bon fonctionnement de l'application et si la vérification de la date limite est placée à plusieurs endroits stratégiques dans le programme, et non pas juste au démarrage.
Protéger l'application elle-même - la vraie et non la démo - est une autre histoire. Aucune solution est à toute épreuve à mon avis mais il y des solutions meilleures que d'autres. L'idée est de limiter au mieux les copies pirates possible de l'application.
Il y a la protection par dongle (comme le fait PC Soft) qui est très bonne: voir le site de Aladdin http://www.aladdin.fr/ . Certains cracks arrivent à émuler ce dongle mais je crois que peu de personnes vont le faire.
Vous pouvez aussi utiliser une protection-maison basée sur le numéro de série du disque dur et de d'autres informations sur l'ordinateur où l'application est installée et d'enregistrer ces information dans un fichier à la première installation - de façon cryptée bien sûr. Toute anomalie détectée à l'ouverture et ailleurs dans le programme pourrait faire "tomber" l'application en mode DEMO. Cette méthode est contournable aussi mais pas par tout le monde et inutile de donner des indices au client sur la méthode utilisée. Sur une application en réseau c'est un peu plus compliqué mais cela se fait aussi - nous utilisons cette méthode avec succès depuis plusieurs années.
Bon développement et bonne chance avec votre DEMO.
Cordialement,
Réal Philippon www.ultra.ca L'informatique sur mesure depuis 25 ans
"Clément" <mailingballer@free.fr> a écrit dans le message de news:41385b9e$1@news.pcsoft.fr...
Bonjour,
Je vous sollicite car j'ai développé une application DEMO et je souhaite
la
protéger. J'ai prévu une date de fin d'évaluation. Mais si l'utilisateur supprime tous les fichiers, il pourra réinstaller et s'en servir de nouveau.
Comment faites vous alors, chers développeurs, pour protéger vos applications contre ces cas de fraude.
Thx for your response.
Clément
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Posté le 03 septembre 2004 - 15:14 |
Salut JCP,
> Mais je m'interroge sur une protection basée sur le numéro de série du disque
dur. Supposons qu'un client veut déplacer une application de l'ordinateur x vers > l'ordinateur y.
Dans mon cas, je lui fait copier l'application au complet sur le nouvel ordinateur y. Cette copie ne fonctionne pas puisqu'elle est située dans un nouvel environnement. Un message apparaît "Copie illégale. Veuillez contacter votre fournisseur."
Je lui fait ensuite désactiver la version originale sur l'ordinateur x par un petit module que je lui envoie. Quand il le fait, la procédure génère un code que l'usager doit me donner qui confirme le succès de la désinstallation.
Une fois la version originale désinstallée correctement, on réactive la version copiée sur l'ordinateur y. Dans mon cas, l'usager doit me transmettre trois nombres qui sont générés au hasard mais qui ne répondront qu'à un seul nombre clef que je lui fourni basé sur un algorithme spécial qui permettra de débrider le logiciel. S'il manque son coup, trois nouveaux nombres sont générés pour une nouvelle clef afin d'éviter que le client possède un code de débridage fixe.
Cette façon est assez bien je crois parce que je ne dépend d'aucun bidule physique et s'il ajoute ou retranche des périphériques ou encore change sa version de Windows cela continue de fonctionner sans problème. Le seul problème qui survient de temps à autre - mais très très rarement - c'est quand le client nous téléphone pour nous dire que sont disque dur a "sauté" et qu'il a dû se procurer rapidement un nouvel ordinateur incluant un nouveau disque dur sur lequel il a copié notre logiciel depuis sa sauvegarde (logiciel et données) mais que cela ne fonctionne pas. Alors là il faut investiguer un peu: soit poser des questions et/ou demander une copie de la facture de l'ordinateur. Mais ce n'est pas sans risque puisqu'il peut être en train d'installer une copie chez un ami à qui il a fait un bon prix pour une copie de son propre logiciel. Il faut bien noter la situation dans son dossier et si jamais il téléphone pour un problème à son magasin, faire le lien.... mais il pourrait téléphoner en disant qu'il a un problème avec son nouvel ordinateur et en fait il serait chez son ami. En fait, plus le logiciel est solide et fiable - après un nombre d'heures impressionnants de temps d'optimisations et de mises au point du logiciel - et plus on est exposé à des tentatives de piratages - et moins on risque de savoir qu'on s'est fait pirater.
Mais quand même, considérant qu'aucune méthode n'est parfaite et inviolable, cette méthode est probablement une des meilleures et sans dépendance.
Cordialement,
Réal Philippon www.ultra.ca L'informatique sur mesure depuis 25 ans
"JCP" <puccettijc@aol.com> a écrit dans le message de news:41388e4e$1@news.pcsoft.fr...
Je partage entièrement ta philosophie sur la restriction des démos.
Mais je m'interroge sur une protection basée sur le numéro de série du
disque
dur. Supposons qu'un client veut déplacer une application de l'ordinateur x vers
l'ordinateur y. Dans ce cas, je dois lui donner le numéro de licence pour l'ordinateur y. Mais comment faire pour lui interdire de réinstaller sur l'ordinateur x avec
l'ancien numéro de licence ? "Phil" <pasdespam_info@ultra.ca> a écrit dans le message de news:41386cb7$1@news.pcsoft.fr... Bonjour Clément,
Un démo par principe devrait déjà être limité, soit par un nombre limite réduit de clients, de produits ou autre fonction(s) restreintes. De
cette > > façon, loin de vouloir placer une limite sur la date, on a plutôt intérêt à
ce que le démo se copie le plus souvent possible afin de le faire connaître.
Une limite sur la date est facile à éviter puisqu'il suffit de reculer
la
date par Windows et de démarrer l'application. De plus, dans votre cas, supprimer les fichiers permet d'utiliser la DEMO à nouveau. Notez ici que > > vous pourriez livrer l'application avec 1 fichier d'information (au lieu de
laisser HCreationSiInexistant créér tous les fichiers) et si ce fichier n'est pas présent, stopper l'application.
Une limite sur la date peut cependant être valable si la date du jour est > > indispensable au bon fonctionnement de l'application et si la vérification
de la date limite est placée à plusieurs endroits stratégiques dans le programme, et non pas juste au démarrage.
Protéger l'application elle-même - la vraie et non la démo - est une autre
histoire. Aucune solution est à toute épreuve à mon avis mais il y des solutions meilleures que d'autres. L'idée est de limiter au mieux les copies pirates
possible de l'application.
Il y a la protection par dongle (comme le fait PC Soft) qui est très bonne:
voir le site de Aladdin http://www.aladdin.fr/ . Certains cracks arrivent à émuler ce dongle mais je crois que peu de personnes vont le faire. Vous pouvez aussi utiliser une protection-maison basée sur le numéro de série du disque dur et de d'autres informations sur l'ordinateur où l'application est installée et d'enregistrer ces information dans un fichier
à la première installation - de façon cryptée bien sûr. Toute anomalie détectée à l'ouverture et ailleurs dans le programme pourrait faire "tomber"
l'application en mode DEMO. Cette méthode est contournable aussi mais pas par tout le monde et inutile > > de donner des indices au client sur la méthode utilisée. Sur une application
en réseau c'est un peu plus compliqué mais cela se fait aussi - nous utilisons cette méthode avec succès depuis plusieurs années. Bon développement et bonne chance avec votre DEMO. Cordialement, Réal Philippon www.ultra.caL'informatique sur mesure depuis 25 ans "Clément" <mailingballer@free.fr> a écrit dans le message de news:41385b9e$1@news.pcsoft.fr... Bonjour,
Je vous sollicite car j'ai développé une application DEMO et je
souhaite
la protéger. J'ai prévu une date de fin d'évaluation. Mais si l'utilisateur supprime tous les fichiers, il pourra réinstaller et
s'en servir de nouveau.
Comment faites vous alors, chers développeurs, pour protéger vos applications contre ces cas de fraude.
Thx for your response.
Clément
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Posté le 03 septembre 2004 - 16:17 |
je crée une entrée avec un nom bidon dans la base de registre et j'enregistre la date de fin de maniére cryptée.
donc dans regedit j'ai
HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\CRTMSD\5k/AzPdHLPI
et je lit cette valeur avec registrelit, la décrypte et obtiens 20041231 qui est la date de fin.
A+ Adrien.
"Clément" <mailingballer@free.fr> wrote:
Bonjour,
Je vous sollicite car j'ai développé une application DEMO et je souhaite
la
protéger. J'ai prévu une date de fin d'évaluation. Mais si l'utilisateur supprime tous les fichiers, il pourra réinstaller et
s'en servir de nouveau.
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Clément
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Posté le 03 septembre 2004 - 17:21 |
http://news.pcsoft.fr/fr/cgi-bin/dnewsweb… .....
"Clément" <mailingballer@free.fr> wrote:
Bonjour,
Je vous sollicite car j'ai développé une application DEMO et je souhaite
la
protéger. J'ai prévu une date de fin d'évaluation. Mais si l'utilisateur supprime tous les fichiers, il pourra réinstaller et
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Clément
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Posté le 03 septembre 2004 - 19:31 |
Je partage entièrement ta philosophie sur la restriction des démos.
Mais je m'interroge sur une protection basée sur le numéro de série du disque dur. Supposons qu'un client veut déplacer une application de l'ordinateur x vers l'ordinateur y. Dans ce cas, je dois lui donner le numéro de licence pour l'ordinateur y. Mais comment faire pour lui interdire de réinstaller sur l'ordinateur x avec l'ancien numéro de licence ?
"Phil" <pasdespam_info@ultra.ca> a écrit dans le message de news:41386cb7$1@news.pcsoft.fr...
Bonjour Clément, Un démo par principe devrait déjà être limité, soit par un nombre limite réduit de clients, de produits ou autre fonction(s) restreintes. De cette façon, loin de vouloir placer une limite sur la date, on a plutôt intérêt à ce que le démo se copie le plus souvent possible afin de le faire connaître. Une limite sur la date est facile à éviter puisqu'il suffit de reculer la date par Windows et de démarrer l'application. De plus, dans votre cas, supprimer les fichiers permet d'utiliser la DEMO à nouveau. Notez ici que vous pourriez livrer l'application avec 1 fichier d'information (au lieu de laisser HCreationSiInexistant créér tous les fichiers) et si ce fichier n'est pas présent, stopper l'application. Une limite sur la date peut cependant être valable si la date du jour est indispensable au bon fonctionnement de l'application et si la vérification de la date limite est placée à plusieurs endroits stratégiques dans le programme, et non pas juste au démarrage. Protéger l'application elle-même - la vraie et non la démo - est une autre histoire. Aucune solution est à toute épreuve à mon avis mais il y des solutions meilleures que d'autres. L'idée est de limiter au mieux les copies pirates possible de l'application. Il y a la protection par dongle (comme le fait PC Soft) qui est très bonne: voir le site de Aladdin http://www.aladdin.fr/ . Certains cracks arrivent à émuler ce dongle mais je crois que peu de personnes vont le faire. Vous pouvez aussi utiliser une protection-maison basée sur le numéro de série du disque dur et de d'autres informations sur l'ordinateur où l'application est installée et d'enregistrer ces information dans un fichier à la première installation - de façon cryptée bien sûr. Toute anomalie détectée à l'ouverture et ailleurs dans le programme pourrait faire "tomber" l'application en mode DEMO. Cette méthode est contournable aussi mais pas par tout le monde et inutile de donner des indices au client sur la méthode utilisée. Sur une application en réseau c'est un peu plus compliqué mais cela se fait aussi - nous utilisons cette méthode avec succès depuis plusieurs années. Bon développement et bonne chance avec votre DEMO. Cordialement, Réal Philippon www.ultra.caL'informatique sur mesure depuis 25 ans "Clément" <mailingballer@free.fr> a écrit dans le message de news:41385b9e$1@news.pcsoft.fr... Bonjour,
Je vous sollicite car j'ai développé une application DEMO et je souhaite la
protéger. J'ai prévu une date de fin d'évaluation. Mais si l'utilisateur supprime tous les fichiers, il pourra réinstaller et s'en servir de nouveau.
Comment faites vous alors, chers développeurs, pour protéger vos applications contre ces cas de fraude.
Thx for your response.
Clément
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Posté le 06 septembre 2004 - 11:24 |
"Phil" <pasdespam_info@ultra.ca> a écrit dans le message de news:4138a67e@news.pcsoft.fr...
Salut JCP, Mais je m'interroge sur une protection basée sur le numéro de série du disque dur. Supposons qu'un client veut déplacer une application de l'ordinateur x vers l'ordinateur y.
Dans mon cas, je lui fait copier l'application au complet sur le nouvel ordinateur y. Cette copie ne fonctionne pas puisqu'elle est située dans un nouvel environnement. Un message apparaît "Copie illégale. Veuillez contacter votre fournisseur." Je lui fait ensuite désactiver la version originale sur l'ordinateur x par un petit module que je lui envoie. Quand il le fait, la procédure génère un
code que l'usager doit me donner qui confirme le succès de la désinstallation.
Une fois la version originale désinstallée correctement, on réactive la version copiée sur l'ordinateur y. Dans mon cas, l'usager doit me transmettre trois nombres qui sont générés au
hasard mais qui ne répondront qu'à un seul nombre clef que je lui fourni basé sur un algorithme spécial qui permettra de débrider le logiciel. S'il manque son coup, trois nouveaux nombres sont générés pour une nouvelle clef
afin d'éviter que le client possède un code de débridage fixe.
Cette façon est assez bien je crois parce que je ne dépend d'aucun bidule physique et s'il ajoute ou retranche des périphériques ou encore change sa version de Windows cela continue de fonctionner sans problème. Le seul problème qui survient de temps à autre - mais très très rarement - c'est quand le client nous téléphone pour nous dire que sont disque dur a "sauté"
et qu'il a dû se procurer rapidement un nouvel ordinateur incluant un nouveau disque dur sur lequel il a copié notre logiciel depuis sa sauvegarde
(logiciel et données) mais que cela ne fonctionne pas. Alors là il faut investiguer un peu: soit poser des questions et/ou demander une copie de la
facture de l'ordinateur. Mais ce n'est pas sans risque puisqu'il peut être en train d'installer une copie chez un ami à qui il a fait un bon prix pour
une copie de son propre logiciel. Il faut bien noter la situation dans son dossier et si jamais il téléphone pour un problème à son magasin, faire le lien.... mais il pourrait téléphoner en disant qu'il a un problème avec son
nouvel ordinateur et en fait il serait chez son ami. En fait, plus le logiciel est solide et fiable - après un nombre d'heures impressionnants de
temps d'optimisations et de mises au point du logiciel - et plus on est exposé à des tentatives de piratages - et moins on risque de savoir qu'on s'est fait pirater.
Mais quand même, considérant qu'aucune méthode n'est parfaite et inviolable,
cette méthode est probablement une des meilleures et sans dépendance. Cordialement, Réal Philippon www.ultra.caL'informatique sur mesure depuis 25 ans Bonjour
Si l'on décide de protéger un logiciel, il faut choisir une méthode de protection adaptée au public visé par le logiciel et, bien sur, au prix du logiciel.
Par exemple, la méthode que tu détailles et aussi intéressante soit elle, ne pourra pas être mise en oeuvre si le logiciel est diffusé auprès du Grand Public puisqu'elle est trop contraignante pour diverses raisons, soit notamment le fait qu'après formatage du disque dur et ré-installation du logiciel, le client devra faire les démarches pour pouvoir à nouveau débrider le logiciel, au même titre que s'il avait acheté un nouveau PC ou installé un nouveau disque dur.
Il faut en effet se rendre à l'évidence: si en entreprise les opérations de formatage de disque sont "rares" et faites de façon "contrôlées" ce n'est pas la même chose dans le grand public ou l'on formate le disque pour quelque raison que ce soit. Et j'en parle en connaissance de cause, puisque je vend un logiciel qui est protégé à partir d'une clé générée sur le numéro de disque dur. Ainsi, tous les jours, j'ai plusieurs clients qui me téléphonent pour que je leur communique une nouvelle clé pour pouvoir utiliser le logiciel, car ils ont été contraints de formater leur disque dur à la suite d'un virus ou d'un dysfonctionnement du système. Et oui, aujourd'hui "monsieur tout le monde" procède de plus en plus souvent au formatage de son disque dur parce que tout a été fait pour que cette opération puisse être faite rapidement. Exemple: mon PC plante régulièrement ou j'ai un problème sur la carte vidéo. Je téléphone au SAV et, après seulement 2 à 3 mn d'investigation, le hotliner me demande de mettre le CD de restauration dans le lecteur de CD, puis de rebotter la machine en appuyant sur F12 de façon à ré-installer le système sur la machine (cette opération formatant le disque bien sur) et m'obligeant ensuite à procéder à la ré-activation de la plupart des logiciels qui se débrident à partir d'une clé, puisque le numéro de série du disque aura changé. De la même façon et si en entreprise le matériel informatique est généralement bien protégé des risques électriques, ce n'est pas le cas chez "monsieur tout le monde". Ainsi, au moins d'Août où il y a eu pas mal d'orages en France, 9 de mes clients ont eu des "grillages" de disque dur du fait de la foudre puisque, et bien que les machines étaient hors-tension pendant les orages, elles étaient encore reliées au secteur et non protégées par un système anti-foudre.
Donc, lorsque l'on décide de protéger un logiciel, il faut tout d'abord choisir une méthode qui sera adaptée au public visé par le logiciel, soit Grand-public ou entreprise. Il faut ensuite mettre en oeuvre la méthode de façon intelligente car il n'existe pas de solution miracle. Ainsi, les méthodes mettant en oeuvre un code placé dans la base de registres ou dans un fichier HF sont détournables en quelques minutes par un gosse de 10 ans qui sait démarrer Regedit.exe ou faire des copies de dossier. Celles mettant en oeuvre une clé générée sur le numéro de série du disque dur sont contournables par des logiciels vendus quelques Euros et qui permettent de cloner des disques de façon à les reproduire à l'identique.
Il en existe une cependant qui, selon moi, présente un bon compromis entre "souplesse pour l'utilisateur du logiciel" et "rigidité pour l'éditeur du logiciel". Elle consiste à générer une clé de protection à partir d'un numéro d'identification de la carte mère de la machine. Ainsi, si le client change de disque ou reformate celui-ci, la clé ne change pas. Par contre, s'il change de carte mère (opération moins fréquente qu'un changement/formatage de disque) ou s'il essaye de débrider le logiciel sur une autre machine, la clé ne fonctionne pas et il doit se manifester auprès du vendeur/auteur/éditeur.
Enfin et si le prix du logiciel permet d'absorber le coût et si le mode de vente du logiciel permet sa mise en oeuvre, la protection par dongle est très intéressante.
A+
Val |
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Posté le 06 septembre 2004 - 15:01 |
Bonjour Val,
Il en existe une cependant qui, selon moi, présente un bon compromis entre "souplesse pour l'utilisateur du logiciel" et "rigidité pour l'éditeur du logiciel". Elle consiste à générer une clé de protection à partir d'un numéro d'identification de la carte mère de la machine.
Je suis d'accord que cette solution est très intéressante. Mais le site de Intel mentionne qu'ils offrent un utilitaire qui peut empêcher la lecture du no de série du processeur. Voir le site http://support.intel.com/support/processors/pentiumiii/sb/CS-007582.htm
Et ce site (toujours de Intel) http://resource.intel.com/telecom/support/tnotes/gentnote/dl_hard/tn245.htm mentionne que dans certains cas on peut obtenir une erreur "firmware".
Ça ne semble donc pas si facile et direct cette solution.
Réal Philippon - Phil |
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Posté le 06 septembre 2004 - 18:10 |
"Val" <al76230@voila.fr> a écrit dans le message de news:413c1229$1@news.pcsoft.fr...
Il en existe une cependant qui, selon moi, présente un bon compromis entre "souplesse pour l'utilisateur du logiciel" et "rigidité pour l'éditeur du logiciel". Elle consiste à générer une clé de protection à partir d'un numéro d'identification de la carte mère de la machine. Ainsi, si le client change de disque ou reformate celui-ci, la clé ne change pas. Par contre, s'il change de carte mère (opération moins fréquente qu'un changement/formatage de disque) ou s'il essaye de débrider le logiciel sur une autre machine, la clé ne fonctionne pas et il doit se manifester auprès du vendeur/auteur/éditeur.
Cette méthode est intéressante, mais comment récupérer le numéro d'identification de la carte mère de la machine ?
Cordialement JCP |
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Posté le 06 septembre 2004 - 18:49 |
merci Phil pour ta réponse qui m'aide dans ma réflexion sur la protection des logiciels. |
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Posté le 06 septembre 2004 - 21:57 |
"JCP" <puccettijc@aol.com> writes:
merci Phil pour ta réponse qui m'aide dans ma réflexion sur la protection des logiciels.
On peut également utiliser l'adresse MAC de la carte réseau
-- suivre ce lien pour répondre: http://cerbermail.com/… Daniel
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Posté le 07 septembre 2004 - 10:55 |
"Phil" <pasdespam_info@ultra.ca> a écrit dans le message de news:413c97d4@news.pcsoft.fr...
Bonjour Val, Il en existe une cependant qui, selon moi, présente un bon compromis entre > > "souplesse pour l'utilisateur du logiciel" et "rigidité pour l'éditeur du
logiciel". Elle consiste à générer une clé de protection à partir d'un numéro d'identification de la carte mère de la machine.
Je suis d'accord que cette solution est très intéressante. Mais le site de Intel mentionne qu'ils offrent un utilitaire qui peut empêcher la lecture du no de série du processeur. Voir le site http://support.intel.com/support/processors/pentiumiii/sb/CS-007582.htmEt ce site (toujours de Intel) http://resource.intel.com/telecom/support/tnotes/gentnote/dl_hard/tn245.htm
mentionne que dans certains cas on peut obtenir une erreur "firmware".
Ça ne semble donc pas si facile et direct cette solution.
Réal Philippon - Phil
Bonjour
La solution que je trouve intéressante consiste à générer une clé de protection à partir d'un numéro d'identification *de la carte mère* de la machine, ce qui n'a bien sur rien à voir avec le processeur.
A+
Val |
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Posté le 07 septembre 2004 - 11:59 |
"Val" <al76230@voila.fr> a écrit dans le message de news:413d5e23$1@news.pcsoft.fr...
La solution que je trouve intéressante consiste à générer une clé de protection à partir d'un numéro d'identification *de la carte mère* de la machine, ce qui n'a bien sur rien à voir avec le processeur.
Arrives tu à lire le numéro d'identification de la carte mère d'un PC depuis un prg VD ?
Si oui comment ?
Cordialement JCP |
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Posté le 07 septembre 2004 - 16:06 |
"JCP" <puccettijc@aol.com> a écrit dans le message de news:413d6a1f$1@news.pcsoft.fr...
"Val" <al76230@voila.fr> a écrit dans le message de news:413d5e23$1@news.pcsoft.fr... La solution que je trouve intéressante consiste à générer une clé de protection à partir d'un numéro d'identification *de la carte mère* de la
machine, ce qui n'a bien sur rien à voir avec le processeur.
Arrives tu à lire le numéro d'identification de la carte mère d'un PC depuis un
prg VD ?
Si oui comment ?
Cordialement JCP
Bonjour
Ben non, pour l'instant je ne suis pas arrivé à identifier le numéro de série de la carte mère d'un PC à partir de Windev. Je cherche diverses solutions pour le faire soit via les API soit grâce à un utilitaire qui pourrait être démarré depuis l'application Windev. Si quelqu'un sait comment faire !
A tiens au fait, il y a également une clé intéressante dans la base de registres de Windows. Sous XP Home, elle est ici: HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows\CurrentVersion
C'est le numéro d'inscription de la version de Windows, tel qu'il apparait dans le module "Système", "Général".
Avec ce numéro, on peut faire pas mal de choses de façon à limiter l'utilisation d'un logiciel sur un poste donné.
En effet, si on utilise le numéro de série du disque dur pour calculer une clé de débridage, cette clé change si l'utilisateur change de disque ou reformate son disque. En revanche, cet utilisateur saisira toujours le même numéro de série de Windows au moment de la ré-installation du système sur le disque (sauf cas très particulier bien sur)
A+
Val |
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Posté le 08 septembre 2004 - 11:59 |
Bonjour,
Dans la série "Quelle solution ?", j'ai une question à vous poser : comment procéder pour faire des mises à jour depuis une application WinDev.
Quelle méthode utiliser ?
Merci de vos réponses...
Ines |
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Posté le 08 septembre 2004 - 14:19 |
Bonjour,
Question vague en tête vague ! Pour mettre à jour une appli sur réseau, il suffit d'installer l'appli à jour sur le serveur et WD s'occupe de tout. Voir dans l'installateur.
Marc
"Ines" <iyaka@caramail.com> wrote:
Bonjour,
Dans la série "Quelle solution ?", j'ai une question à vous poser : comment procéder pour faire des mises à jour depuis une application WinDev.
Quelle méthode utiliser ?
Merci de vos réponses...
Ines
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Posté le 08 septembre 2004 - 15:53 |
Bonjour Marc,
Effectivement, ma demande n'est pas claire. En fait, je vous sollicite tous pour savoir comment procéder pour qu'un utilisateur puisse mettre en ligne son logiciel depuis un bouton MAJ qui se connecte à Internet (MAJ en ligne).
Voilà. En espérant avoir éclairé un peu mon problème...
Ines |
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Posté le 08 septembre 2004 - 19:43 |
Le 8 septembre 2004 à 13:53, Ines nous disait :
En fait, je vous sollicite tous pour savoir comment procéder pour qu'un utilisateur puisse mettre en ligne son logiciel depuis un bouton MAJ qui se connecte à Internet (MAJ en ligne).
J'ai adopté la méthode suivante : - Fenêtre de MAJ lançant la connexion internet (si elle n'est pas déjà activée) - Connexion à un serveur FTP sur lequel se trouve l'exe à jour ou le dernier patch - Contrôle de la version de l'exe/patch et rapatriement si il est plus récent que ce qui est présent sur le poste client - Terminaison de l'application afin que la MAJ soit prise en compte lors du redémarrage
-- Cordialement |
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Posté le 09 septembre 2004 - 11:36 |
Bonjour Eric,
Merci de votre réponse. C'est exactement la façon dont je souhaite procéder mais je bloque lors du point suivant :
"Eric" <ericb33+spam@alussinan.org> a écrit dans le message de news:1d5vyncmk1iev$.dlg@ericb33spam.alussinan.org...
Le 8 septembre 2004 à 13:53, Ines nous disait : En fait, je vous sollicite tous pour savoir comment procéder pour qu'un utilisateur puisse mettre en ligne son logiciel depuis un bouton MAJ qui se
connecte à Internet (MAJ en ligne).
J'ai adopté la méthode suivante : - Fenêtre de MAJ lançant la connexion internet (si elle n'est pas déjà activée) - Connexion à un serveur FTP sur lequel se trouve l'exe à jour ou le dernier patch - Contrôle de la version de l'exe/patch et rapatriement si il est plus récent que ce qui est présent sur le poste client - Terminaison de l'application afin que la MAJ soit prise en compte lors du redémarrage -- Cordialement |
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Posté le 09 septembre 2004 - 11:37 |
Suite...
- Contrôle de la version de l'exe/patch et rapatriement si il est plus récent que ce qui est présent sur le poste client
Comment faire pour faire ce controle ?
Merci de votre réponse. Ines |
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Posté le 09 septembre 2004 - 17:32 |
Le 9 septembre 2004 à 09:37, Ines nous disait :
- Contrôle de la version de l'exe/patch et rapatriement si il est plus récent que ce qui est présent sur le poste client
Comment faire pour faire ce controle ?
Très simplement : disons que sur le ftp il y a les trois deniers patches appelés monprojet.wdl.001 à 003. Lors de la connexion, je récupère la liste de ces patches, je la compare avec ceux qui sont présents sur le poste client et je ne télécharge que ceux qui ne le sont pas. Dans le cas ou un exe est présent sur le ftp, je compare sa date et celle de l'exe local. Il y a donc deux traitements différents en fonction de ce qui est présent sur le ftp.
-- Cordialement |
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